Un autre fil de discussion sur le bare metal m'a rappelé cela...

Je constate de plus en plus que le terme « bare metal » est approprié par l'industrie du cloud, pour désigner des serveurs physiques dans des centres de données dédiés à un seul client. En d’autres termes, il n’y a pas de partage de serveurs via la virtualisation : le client dispose de serveurs physiques qui lui appartiennent, et à lui seul.

Le client dispose d'un accès complet, en commençant par le "bare metal", et peut ainsi installer son propre système d'exploitation et travailler à partir de là. C’est très différent du modèle de service cloud traditionnel.

S'il y a une bataille sur le terme "bare metal"entre l'embarqué et le cloud, je pense savoir qui va gagner :)
Ces informaticiens essaient toujours de voler "l'analyseur de réseau"aux gars RF.